Bruxelles, 28 mai 2020 - Suite au télétravail obligatoire, plus de 2 salariés sur 3 ont pris conscience de l'importance, pour leur motivation et l'agrément ressenti au travail, des contacts avec les collègues. À cause de la pandémie de Covid-19, une grande partie des Belges ont été contraints au télétravail. Mais malgré les mesures de distanciation physique, c'est le travail en entreprise qui procure le plus de satisfaction. En outre, une moitié des salariés pense que le travail ne sera plus jamais comme avant. Plus de 8 répondants sur 10 déclarent que de l'optimisme dans la 'nouvelle norme' sera nécessaire pour surmonter les conséquences économiques provoquées par la pandémie. Tempo-Team, le prestataire de services RH, partage cette vision et se profile dorénavant sur le marché sous le slogan 'Ensemble pour plus de jobtimisme'.
On en regrette même les embouteillages et le chef Tempo-Team a sondé à la mi-mai un échantillon représentatif* de salariés de Belgique afin de mieux cerner ce qui leur a le plus manqué durant le confinement. Pour 2 répondants sur 3, c'est surtout l'ambiance au travail et la présence des collègues ; pour près de 1 sur 2, c'est le confort du lieu de travail habituel et la séparation nette entre travail et vie privée. Plus d'un tiers des salariés disent regretter la présence de leur patron… et les embouteillages pour rejoindre le travail.
2 salariés sur 3 sont plus productifs au bureau qu'à la maison Toutefois, 1 salarié sur 3 préfère poursuivre le travail à domicile après la période de confinement. Le principal argument : la plus grande liberté d'organiser la journée de travail soi-même. Un télétravailleur sur deux assure également être plus productif à la maison qu'en entreprise ; à l'inverse, 2 salariés au bureau sur 3 prétendent y être plus efficients qu'à la maison.
87 % réclament une attitude optimiste
Une moitié des Belges sont persuadés que le travail ne sera plus jamais comme avant la pandémie. La 'nouvelle norme' sur le lieu de travail conjuguée à l'incertitude pour l'emploi requiert à la fois une forte résilience et une grande capacité d'adaptation. Selon près de 9 travailleurs sur 10, surmonter la crise économique et sanitaire ne sera possible qu'avec un état d'esprit optimiste.
"Après le confinement, la plupart des Belges ont repris le chemin du travail avec une forte envie de s'adapter aux nouvelles circonstances. C'est cette mentalité optimiste, volontariste qui permettra aux employeurs et aux travailleurs d'atténuer l'impact de la pandémie, de préserver un maximum d'emplois et d'en créer d'autres. Tempo-Team tient à y contribuer et se profile désormais sous le slogan 'Ensemble pour plus de jobtimisme’. Avec cet état d'esprit, nous tenons à aider notre personnel, nos intérimaires et nos clients pour considérer autrement la situation, pour les motiver et pour les pousser à affronter l'avenir avec une attitude positive, quelles que soient les difficultés. Ce jobtimisme nous ouvre en effet bien plus de perspectives optimistes que pessimistes", commente Eddy Annys, Managing Director chez Tempo-Team.
La crise sanitaire rend les bureaux plus tranquilles
Pour près de la moitié des salariés interrogés, les mesures actuelles exigeant une distanciation physique entre les postes de travail sont considérées comme une bénédiction plutôt qu'un fléau, entre autres parce que leur lieu de travail est devenu plus calme. 2 répondants sur 3 déclarent que les mesures de distanciation physique n'empêchent pas de discuter entre collègues, de prendre des pauses et du bon temps ensemble.
Seul 1 salarié sur 4 craint que ces mesures d'éloignement soient mal respectées dans l'entreprise. Dans le groupe qui n'a pas encore repris le chemin de l'entreprise, la proportion de travailleurs inquiets (30 %) est bien supérieure à celle du groupe qui a repris son poste de travail habituel (20 %). Chez les télétravailleurs, la moitié des répondants espère d'ailleurs postposer tant que possible leur retour en entreprise.
*C'est ce qui ressort d'une enquête en ligne menée en mai 2020 auprès d'un échantillon de 650 salariés de Belgique, représentatif en fonction du régime linguistique, du sexe, de l'âge et du diplôme par un bureau d'études indépendant pour le compte de Tempo-Team. La marge d'erreur maximale de l'enquête est de 3,78 %.