Prêt(e) à embellir un peu plus ta vie (professionnelle) ? Fie-toi aux conseils d’une professeure et gourou du bonheur, Catherine Testa. 6 astuces bonheur d’une Française résolument optimiste !
Il y a quelques semaines, Catherine Testa, experte en optimisme, a donné un webinaire aux clients de Tempo-Team. Teamwork était bien sûr de la partie pour épingler pour les meilleurs conseils de la co-fondatrice du site loptimisme.com. Ensemble pour plus de jobtimisme !
Enfile ton casque de chantier
Ne sois pas dupe : les optimistes ne sont pas naïfs ! Ce sont des personnes qui œuvrent pour l’avenir et retroussent leurs manches face à un boulot difficile. Pour les optimistes, un monde meilleur n’est pas un kit IKEA que l’on assemble en une après-midi ensoleillée. C’est un chantier en construction, nécessitant un travail parfois assez intense, mais les optimistes sont persévérants. Enfile chaque matin ton casque de chantier pour affronter la journée plein(e) de courage !
Raye les zombies
L’humain typique (s’il existe vraiment...) intègre certains défauts d’origine. Nous sommes plus enclins à imaginer des scénarios catastrophes que des histoires positives. Les optimistes résistent à cette tendance bien trop humaine. Ils ne se cassent pas la tête sur d’éventuels futurs problèmes mais se concentrent sur un objectif positif. Alors, raye les zombies du scénario de ta vie et concentre-toi sur une happy end. Tu auras directement un état d’esprit positif !
Adopte le smiley
Tu sais maintenant (voir conseil 1) que l’optimisme n’est pas synonyme de naïveté. Et ce n’est pas le seul amalgame à oublier résolument. La gaieté n’est pas de la superficialité. Une bonne relation avec les collègues n’est pas un luxe superflu. Ceux qui broient du noir ne sont pas de grands philosophes et les compétences personnelles ne sont pas pour les mauviettes. Tu te composes un « air de travail » strict pour paraître professionnel(le) ? Les optimistes le savent mieux que quiconque !
Considère-toi comme un rouage
Les pessimistes aiment se placer en dehors du groupe. De cette position, ils peuvent facilement désigner « le coupable » d’un problème. Les optimistes ne se préoccupent pas de la question de la responsabilité. Ils se considèrent comme faisant partie du groupe et de la solution. Même le plus petit rouage d’un système peut faire une différence positive. Ce ne sont pas les exemples inspirants qui manquent !
Mets ton jugement sur pause
Nous vivons dans une société remplie d’opinions rapides et – soyons honnêtes – cela ne nous rend pas plus heureux. En plaçant tes collègues, tes missions et même les mesures contre le coronavirus des cases binaires (bien/mal, loyal/déloyal, victime/coupable...), nous nous sentons vite impuissants ou lésés. Un regard nuancé laisse plus de place à l’optimisme qu’un jugement impitoyable et rapide. Ne crois pas que tout est mieux ailleurs et reste attentif(/ve) à ce qui est bien dans ta vie.
Déconnecte-toi
Tu regardes souvent les sites d’information ou les réseaux sociaux ? Dans ce cas, tu es submergé(e) de messages apocalyptiques et de fake news. Et pour une tempête comme celle-là, il te faut un sacrément bon parapluie. Arrêter de cliquer est une excellente solution – tout le monde profite d’une détox digitale. Les pauses numériques ou les jours où tu cliques uniquement sur les titres positifs sont également bons pour ton bonheur (professionnel). Les algorithmes se souviennent de cette séance de happy news only et t’en proposeront davantage dans le futur.